Régis Lejonc :

artiste français, peintre, illustrateur, graphiste et auteur de littérature jeunesse.

Après un Bac ES, il intègre Sciences Po, et au bout d’une année, intègre des études de gestion. Il peint en autodidacte et fait plusieurs expositions, travaille pour la publicité et l’illustration de presse, aux débuts des années 1990.

Il commence ses travaux d’illustration pour des livres jeunesse, au milieu des années 1990, aux éditions du Rouergue après sa rencontre avec Olivier Douzou, alors directeur de collection à ces éditions, en 1994.

Le premier ouvrage qu’il illustre est publié en 1995, « Tour de manège », et le deuxième l’année suivante, « Icare », tous deux écrits par Olivier Douzou.

Ensuite, Régis Lejonc illustre plusieurs dizaines d’ouvrages et se lance également dans l’écriture, il écrit ses propres textes, qu’il illustre. Parallèlement, il travaille comme graphiste en agence de communication, et pour la publicité.

Il devient directeur de collections aux éditions du Rouergue, en 2002, pour la collection « Zig Zag », et aux éditions l’Édune, pour la collection « L’ABéCéDaire », et pour la collection « Empreinte ».

En 2015, aux éditions Thierry Magnier, est publiée la première bande dessinée écrite par Thomas Scotto, qu’il a dessinée, « Kodhja ». L’ouvrage est « coup de cœur » 2016 du Centre national de la littérature pour la jeunesse (BnF).

Il a été récompensé de plusieurs prix, dont le Prix Baobab en 2002 pour « Au bout du compte », et le Grand Prix de l’illustration en 2010, pour « Quelles couleurs ! » (2009). En 2018, pour son travail d’illustration, il est par deux fois lauréat du Prix Sorcières : catégorie Carrément Beau – Maxi pour « Le jardin du dedans-dehors », texte de Chiara Mezzalama et catégorie Carrément Sorcières – Fiction, pour « Cœur de bois », texte de Henri Meunier.

En 2020, il est à nouveau récompensé par le Prix Sorcières dans la Catégorie Carrément Sorcières non-fiction, pour l’ouvrage documentaire « Dans tous les sens », écrit par Philippe Nessmann, et qu’il a illustré, avec Célestin.

Les Balnéaires

Résumé :

Face à la mer, plongé dans l’eau ou séché par le vent, le corps se déploie, respire, retrouve sa liberté d’enfant.
Pourtant la plage est aussi cet endroit où l’on s’observe du coin de l’œil.
Chacun-e fait avec son corps et ses complexes.
Tout particulièrement les femmes, qui subissent une forte pression sociale quant à leur apparence.
Quel que soit leur âge, les sept autrices de cet ouvrage ont posé leurs mots, souvent intimes, toujours délicats, sur cette parenthèse balnéaire.
Une promenade sensible et bienfaisante.

Jessica Cousin l’a lu pour vous @shka_chronique